Vendredi 30 juillet 2010 à 22:42
You know that I love you. Go on. Feel it, breath it, believe it. And you'll be walking on air. Go try, go fly, so high. And you'll be walking on air. Feel this, unless you kill it. Go on, and your forgiven. I knew that, I could feel that. I feel like, I am walking on air.
Vendredi 23 juillet 2010 à 12:00
Une bonne petite soirée entre fille à se raconter nos histoires militaires =) Je ne comprends toujours pas les Tradi. C'est limite une secte (et là, si vous ne connaissez pas les militaires en profondeur ou que vous n'avez pas de famille militaire ou que vous n'avez jamais été en lycée ou autre établissement militaire, vous ne savez pas ce qu'est un Tradi. Croyez-moi, vous ne ratez rien, les Tradi c'est une bande d'abrutis au lycée militaire et en prépa qui sont formellement attaché aux traditions militaire (d'où le nom Tradi), sauf qu'au début c'était plutot cool comme concept, jusqu'à ce qu'ils partent en live complet et que ça deviennent un truc au bord de la secte).
A part ça, quel bonheur de te revoir, K. Quel bonheur c'est de te voir aussi rayonnante et pleine de vie.
Et quel bonheur c'est de te voir à chaque fois Mon Capitaine. Quel bonheur c'est de fumer une royale polaire en bas de chez nous, dans le noir =)
Et quel joie c'était JP de te retrouver après ces trois semaines de boulot =).
Ceci-dit, passons.
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J'ai des discussions tout à fait étrange et dénuées de sens avec Ph. Ca a toujours été comme ça, un petit brin de folie, par-ci, par-là.
Je vois de moins en moins Paway. Et ça manque vite, malheureusement, ça manque vite.
Je suis curieuse d'avoir son rapport sous mon nez dans peu de temps. Je vais rire, et être déçue, surement.
J'ai envie de le voir. Et rend-le moi d'abord ! Tu es en retard.
Je ferais tes déclarations d'impôt pendant que tu te réveillera.
Jeudi 22 juillet 2010 à 16:36
Elle mange des fraises assise sur sa chaise, en regardant passer les gens. Devant sa fenêtre elle se sent rennaitre, elle oublie la mort quelques temps. Elle pense à son fils, tous ses sacrifices pour lui payer de longues études. Il promet toujours de venir un jour, mais ne vient que la solitude. Elle se sent exclu, elle n'a jamais eu la chance de voir ses p'tits enfants. Si bien qu'elle se dit:"ça fait rien tant pis". Mais elle pleure quand même un instant. Un petit chat roux dort sur ses genoux. La vieille le berce en chantant. Ancienne mélodie, pleine de nostalgie, de beaux témoignages d'antemps. Elle se fait plaisir, dans ses souvenirs. C'est qu'elle était belle en c'temps là.Elle clouait le bec à pas mal de mecs, qui tombaient ardents dans ses bras. Elle se souvient bien du petit Lucien, qu'elle aimait beaucoup mais hélas...Un jour il parti aider sa patrie. Cette patrie qu'elle trouve dégueulasse. Petit à petit, arrive la nuit. Dehors les phares des autos.Ca allume et ça fait, comme des fefolets, qui s'amusent et danse le tango. Le chat lui s'en va, marcher sur les toits, et faire la chasse à la souris.La vieille met dans un verre ses dents, et va se coucher dans son lit. Et moi je sais bien que demain matin, le fiston viendra voir maman. Et qu'il trouvera, un corps triste et froid. La mort aime l'humour grinçant. L'amour aime l'humour grinçant.
Samedi 17 juillet 2010 à 12:10
- Tu n'aime pas qu'on te demande si ça va, car ça n'a aucun sens. Et tu as raison. On peut très bien mentir. Ca ne tien qu'à nous.
- Tu ne parle jamais de ta vie privée, parce que c'est un jardin secret. Et tu as raison. A quoi bon.
- Tu accepte la mort, celle qui t'as marqué. Tu accepte qu'un jour chaque être humain redevienne poussière. Et tu as raison, c'est quelque chose de difficile.
Des mots supplémentaires sur toi, parce que les mots seuls ne suffisent pas.