carte-postale
Carte postale
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Alcoholic-sketch
Samedi 9 octobre 2010 à 1:33
Non, je me suis fait berner. Je suis conne. Ils sont cons. Elle est conne. Je jure de passer les prochaines années â te faite souffrir juste en étant heureuse. Ça te ferais crever.
Alcoholic-sketch
Mercredi 29 septembre 2010 à 13:11
"Au cas où, elle était super belle la fille avec toi !"
Oui, au cas où.
Oui, au cas où.
Alcoholic-sketch
Samedi 18 septembre 2010 à 21:08
- Tu étais mon petit prince, enfin je pense. Combien de nuit vais-je encore passer à me remémorer cette soirée où j'ai bien cru que j'allais te perdre.
- Ces jours étranges qui m'ont gagné et possédé depuis ces quelques semaines m'ont mangé, peu à peu. Tu me manques. Tu étais mon petit prince. Le petit prince qui venait me sauver chaque jours. Tu me manques Petit Prince.
- Je pense que je ne t'oublierai jamais. Ca serait purement stupide. Mais nous en avons déjà parlé.
- Je vis dans ma bulle. Je vis dans mon monde.
Je me lève le matin, mes yeux s'éveillent doucement. Je n'ai pas le temps de manger, et j'en ai perdu l'habitude; je me maquille, m'habille, bois un verre d'eau, fais mon sac, mets mes bottes et pars. Je marche le matin le long de cette route déserte. Les feuilles commencent à me tomber sur la tête, le ciel viendra peut être avec. Je me dépêche pour avoir le tramway, le trajet est plus court en tramway, et il fait moins froid. Je passe sous cette gare qui sent l'urine à plein nez. Je m'assois sur ces rondins de bois devant le lycée, écoute cette mélodie, et fume une cigarette. Et je l'attends tous les matins, je me demande s'il a réussi à se lever ce matin là ou non; je me demande s'il ne viendra qu'à neuf heures ou dix heures. Je passe mes heures de cours à éviter de penser à toi pour suivre les leçons et m'en sortir cette année. Je passe mes journées à esquiver. Et comment refuser lorsque de ton plus beau sourire, même s'il est faux, tu me demande si je peux te donner une cigarette. Et j'en fume une deuxième, et tu me répète encore que je fume trop.
Et puis c'est stupide, comme chaque jour, parce que j'ai beau penser à toi et me morfondre, être angoissée, tu ne reviendra pas, tu n'en sortira pas.
- Ces jours étranges qui m'ont gagné et possédé depuis ces quelques semaines m'ont mangé, peu à peu. Tu me manques. Tu étais mon petit prince. Le petit prince qui venait me sauver chaque jours. Tu me manques Petit Prince.
- Je pense que je ne t'oublierai jamais. Ca serait purement stupide. Mais nous en avons déjà parlé.
- Je vis dans ma bulle. Je vis dans mon monde.
Je me lève le matin, mes yeux s'éveillent doucement. Je n'ai pas le temps de manger, et j'en ai perdu l'habitude; je me maquille, m'habille, bois un verre d'eau, fais mon sac, mets mes bottes et pars. Je marche le matin le long de cette route déserte. Les feuilles commencent à me tomber sur la tête, le ciel viendra peut être avec. Je me dépêche pour avoir le tramway, le trajet est plus court en tramway, et il fait moins froid. Je passe sous cette gare qui sent l'urine à plein nez. Je m'assois sur ces rondins de bois devant le lycée, écoute cette mélodie, et fume une cigarette. Et je l'attends tous les matins, je me demande s'il a réussi à se lever ce matin là ou non; je me demande s'il ne viendra qu'à neuf heures ou dix heures. Je passe mes heures de cours à éviter de penser à toi pour suivre les leçons et m'en sortir cette année. Je passe mes journées à esquiver. Et comment refuser lorsque de ton plus beau sourire, même s'il est faux, tu me demande si je peux te donner une cigarette. Et j'en fume une deuxième, et tu me répète encore que je fume trop.
Et puis c'est stupide, comme chaque jour, parce que j'ai beau penser à toi et me morfondre, être angoissée, tu ne reviendra pas, tu n'en sortira pas.
Alcoholic-sketch
Mardi 14 septembre 2010 à 21:42
Et c'est parti pour sept-cent trente jours.
Elle ne viendra pas, Adèle. Elle ne viendra pas. Et c'était pourtant bien la période où j'aurais apprécier voir sa bouille d'ange. C'était pourtant maintenant le moment propice, bien qu'ils le soient tous. Je vais le recevoir par la poste, et ça me foutra un énorme sourire de recevoir quelque chose d'Elle.
Je suis dégoûtée qu'elle ne vienne pas.
Il ne viendra pas si T. est là. Je ne peux rien y faire. Tant pis.
Elle ne viendra pas, Adèle. Elle ne viendra pas. Et c'était pourtant bien la période où j'aurais apprécier voir sa bouille d'ange. C'était pourtant maintenant le moment propice, bien qu'ils le soient tous. Je vais le recevoir par la poste, et ça me foutra un énorme sourire de recevoir quelque chose d'Elle.
Je suis dégoûtée qu'elle ne vienne pas.
Il ne viendra pas si T. est là. Je ne peux rien y faire. Tant pis.
C'est la fin des haricots.
Alcoholic-sketch
Samedi 11 septembre 2010 à 14:26
Je veux être seule. Reste-là, toi ta gueule. Je ne peux pas me calmer. J'ai trop des tristes pensés. Pour ça je veux crier. Je ne suis pas contente. Furieux comme un enfant. Je ne suis pas gênée. J'ai un esprit troublé. Donne-moi un peu de temps. Ca passera par le vent.
Je veux être seule. Reste-là, toi ta gueule. Je ne peux pas me calmer. Laisse-moi tempêter. C'EST LA MANIE.
Je veux être seule. Reste-là, toi ta gueule. Je ne peux pas me calmer. Laisse-moi tempêter. C'EST LA MANIE.
VIVE LA FETE.